Satrocks 2010

Spécial

Le site de Sat Rocks 2010 est ouvert : http://satrocks.epfl.ch/.

Le festival de Satellite revient pour sa troisième édition, toujours plus grand et avec une prog folle !

C'est dans un Sat' différemment agencé que se produiront Mad Manoush, Explosion de caca, The Yolks, Kaophonic Tribu, Tweek, Metropolitan Parc, et pour finir la soirée Miss Duckin' et DJ Duckk.

Sat Rocks c'est une journée pas banale à Satellite, les portes ouvrent dans l'après midi, et c'est parti pour faire la fête.
Au programme : barbecue, bière and fun, et c'est sur deux scènes que les artistes retournent le campus et font de Sat Rocks un évènement qu'on oublie pas de sitôt.

Et le must : des navettes pour pouvoir rentrer tranquillement chez soi !

Prélocations disponibles sur Petzi au tarif de 15 chf.

Infos

DJ Duckk

Dj Duckk est un amoureux de sons et actif dans le monde des Musiques Actuelles depuis longtemps.

Responsable de FEELING AND SOUND, association (loi 1901) et collectif d'artistes autours des musiques électroniques. DJ Duckk s'occupe de programmer des soirées dans les bars, clubs ou festivals entre Rhône Alpes, la Suisse Romande et plus loin encore...

Il fait aussi parti du groupe WÄKS aux côtés de Soph' (chant), Dav' (guitare qui tache) et Ben (batterie) pour les curieux c'est un mélange corsé electro - rock - punk - métal - indus.

Dj depuis 1998, où il posait ses premières galettes au Mark XIII de Grenoble aux côtés de Oxia et The Hacker ; Caméléon des platines, il s'adapte suivant le cadre et le public, just feeling! De l'electro-tek-indus-EBM pour les soirées qui tachent, groovy house, funky breaks et booty electro pour les ambiances festives jusqu'au concept "Duckk Radio-Mix" qui propose une sélection "chill" pointue et accessible à écouter allonger dans un transat les après-midi d'été ou au coin du feu les longues nuits d'hiver...


Explosion de caca

Le groupe évolue dans un style pour le moins déjanté, reprenant à leur sauce des génériques de dessins animés ou de chansons ayant bercé notre enfance. Affublés de déguisements sortis tout droit d'un mauvais conte de fées, ces trois anti-héros se sont fait une solide réputation en écumant les scènes de Suisse Romande depuis 1999.

Leur musique n'est pas seulement déjantée, elle est également appliquée : les reprises sont interprétées avec un talent d'exécution digne des meilleurs lives de Gérard Lenorman, e question ici d'amateurisme. Elle est également variée : les morceaux vont du reggae au metal, « entre Slayer et Pierre Bachelet » pour reprendre leurs propres termes.

Après une séparation de 6 ans (entre 2003 et 2009 pour cause de grossesse), Guy, Jean-Jacques et Mouloud nous reviennent dans une forme encore jamais soupçonnée par beaucoup, si ce n'est personne. Merci du fond !


Kaophonic tribu

Quatre sorciers venus du Morvan génèrent un courant électrique de forte intensité. Dans le KAO les cultures s'entrechoquent. Déferlantes de rythmes africains, hurlements de didjeridoo aborigène, déploiements de chants ethniques, violence d'accords occidentaux. Plus que jamais au service de la danse et de la transe, Kaophonic Tribu débarque avec un nouveau spectacle. Une expérience frénétique, sonore et visuelle, au carrefour des rythmes électroniques et des musiques ancestrales. Un voyage initiatique et sensoriel qui vous transporte dans une jungle humide, électrique et primitive !


Mad Manoush

Il pourrait sembler être une tâche folle et difficile de lier le jazz manouche à la musique pop-rock-punk. Exactement Mad Manoush!

Egon Egemann, inventeur de Mad Manoush, le violoniste et chanteur est né près de Graz avec les racines d'un grand-père hongrois tzigane. Dans sa jeunesse, il était déjà influencé par la musique de Django Reinhardt et Stéphane Grappelli qu'il a rencontré personnellement à New York lors de son séjour aux États-Unis dans les années soixante-dix. Quelques années plus tard, Egon est tombé sous le charme des New Yorks Gypsy Punk Scene où il a trouvé l'inspiration principale à la création de Mad Manoush.

Au printemps 2004, Egon assiste au Django Reinhardt Memorial à Augsbourg, en Allemagne et rencontre l'icone Gypsy-jazz Robin Nolan. Enchantés pas l'idée révolutionnaire de Egons d'un mélange entre de pur jazz manouche avec des composants modernes, Robin décide de s'engager spontanément dans le projet. Le résultat des deux "musiciens borderline" le travail est la chanson "Django", qui est également réalisé en clip vidéo.

Mad Manoush est né! Un nouveau style de musique passionnante, qui crée un goût frais et épicé de la scène des musiques du monde - sur scène dans un spectacle de haute énergie.


Metropolitan Parc

Créé en 2007, le groupe est à l'origine acoustique; guitare et deux voix. L'arrivée d'un batteur permet de revisiter les compositions par des arrangements plus pêchus et surtout plus expérimentaux avec l'intégration d'une partie électronique. Les membres du groupes viennent d'horizons différents, avec des influences électriques, mais arrivent a les manier de façon a rendre leur musique abordable par tous genres.


Miss Duckin'

Alors que « Wäkshing machine » (véritable tuerie de métal-pop-indus qui nous remplacerait volontiers une addiction aux vitamines les plus efficaces) de Wäks sortait il y a peine six mois, Soph’, voix lead du groupe, nous revient avec son projet solo sous le nom de Miss Duckin’.

Après une dizaine de remixes depuis 2006, allant de Laurent Garnier à Nine Inch Nails, et quelques morceaux éparpillés sur des compiles (dont une incontournable reprise de “Laibach” sur la compilaion “Tribute to Mute Records” chez D-Monic Rec), elle sort depuis Novembre 2008 de nombreux EP sur des labels comme BLACK MONTANAS (USA), BLACK LEATHER (COL), HELVET UNDERGROUND (CH), et en vente sur les plateformes numériques (Beatport, Juno, Itunes…).

Ambiances techno-club-trash stroboscopiques, sons claquants et punchy, samples répétés en boucle ou chant à la Miss Kittin, notre cerveau passe littéralement au mixeur. Heureusement qu’il est une tâche impossible que de s’électrocuter avec un mp3 ! Les fans de d’électro survoltée et d’electroclash en marge vont être servis, et ce où qu’ils se trouvent puisqu’une tournée européenne est prévue cet hiver. Une chose est sûre, Miss Duckin’ n’a pas fini de faire parler d’elle…


The Yolks

Avec sa façon très fresh et spontanée d'envisager la pop, The Yolks trace sa route depuis 2007 et s'impose progressivement comme un groupe phare de la scène indie parisienne.

Kids et funky, la musique de The Yolks est un mélange barré de french touch et de pop anglaise où s'enchaînent des histoires piquées dans les mangas et les jeux vidéo. Toujours soigneux de composer des mélodies catchy autour de slogans improbables, ils nous emmènent sur leur planète, loin d'ici, où l'émotion n'est jamais bien loin du délire collectif.

Après plus de cent concerts, du Pop In à la Flèche d'Or en passant par le Point Ephémère ou la Boule Noire (première partie des Naive New Beaters), The Yolks a sorti son premier EP le 09/09/2009. Ces 4 titres résument bien leur capacité à créer un style propre en gardant les oreilles grandes ouvertes : du funk élastique visité par les Beastie Boys (Stop Working) à l'urgence d'une pop-electro frondeuse (Faster).


Tweek

Composé de sept musiciens dont deux rappeurs/chanteurs et d’un beatboxer, TWEEK a débutéson périple en 2009 avec la volonté de réaliser un album en quatre étapes, tant au niveau musical que graphique, qui aboutira en 2013.

Ce projet a permis au groupe, en l’espace de quatre ans, de se présenter au travers de nombreuses apparitions médiatiques, d'écouler plus de 3000 exemplaires de leurs projets, de parcourir des scènes suisses et parisiennes telles que la Scène Bastille, Le Bus Palladium, le Chant du Gros, le Rock'Oz Arène, le Caprices Festival, le Caribana Festival, le Paléo Festival et de faire des premières parties notamment celles de Shaka Ponk.

Le groupe est actuellement en studio pour la préparation de la pièce finale qui s’intitulera Bottom Right et sortira lors de son vernissage le 30 mars 2013 à l’Usine à Gaz à Nyon. Ne manquez donc pas le prochain rendez-vous car c’est bien sur scène que le hip-hop/rock de TWEEK prend toute son ampleur.