Concerts rock - métal

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Concerts rock - métal
Ottone Pesante / The Killing Volts

Pour l'avant-dernier concert de 2017, Satellite vous prépare une soirée garantie 100 % rock, mais pas forcément celui que vous attendez... En effet, les Italiens de Ottone Pesante nous proposeront un puissant mélange entre fanfare et métal, vous livrant un aperçu de ce que donne un rockeur énervé ayant laissé tomber sa six cordes pour souffler dans un trombone ! En ouverture, le power quatuor The Killing Volts vous fera vivre l’énergie à l’état pur en communiant leur amour avec leur rock déjanté.

Ottone Pesante

Pour les moins italophones d'entre nous, précisons d'entrée que l'on peut traduire "Ottone Pesante" par quelque chose comme "Les cuivres lourds", ce qui décrit assez bien l'astucieux mélange entre gros rock et fanfare que nous propose le groupe. Oubliez vos a priori : quand le métal n'est pas basé sur les sons de basses et de guitares, mais que la batterie s'accorde à une trompette et à un trombone, il n'en est pas moins lourd, extrême et technique tout autant que mélodique.

The Killing Volts

Venus tous droit de Genève et citant comme références musicales The Hives, Queens of the Stone Age ou encore Black Sabbath, les quatre rockeurs de The Killing Volts se préparent à retourner Satellite. La puissante voix de Tania Silversen vous remplira la tête de volts enfiévrés, tandis que les guitares endiablées d’Al Castro viendront fricoter avec l’unique Antoine et sa basse enrageusement distortionnée, le tout soutenu par la solide rythmique de Math Sink.





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Ottone Pesante

Pour les moins italophones d'entre nous, précisons d'entrée que l'on peut traduire "Ottone Pesante" par quelque chose comme "Les cuivres lourds", ce qui décrit assez bien l'astucieux mélange entre gros rock et fanfare que nous propose le groupe. Oubliez vos a priori : quand le métal n'est pas basé sur les sons de basses et de guitares, mais que la batterie s'accorde à une trompette et à un trombone, il n'en est pas moins lourd, extrême et technique tout autant que mélodique.

The Killing Volts

Venus tous droit de Genève et citant comme références musicales The Hives, Queens of the Stone Age ou encore Black Sabbath, les quatre rockeurs de The Killing Volts se préparent à retourner Satellite. La puissante voix de Tania Silversen vous remplira la tête de volts enfiévrés, tandis que les guitares endiablées d’Al Castro viendront fricoter avec l’unique Antoine et sa basse enrageusement distortionnée, le tout soutenu par la solide rythmique de Math Sink.