Ceci n'est pas une épreuve des jeux olympiques.
Le nom est trompeur, mais le fil rouge que vous avez peut-être perçu dans la métaphore des JOs s'y retrouve, alors on l'a gardé. Plein de groupes, plein de musique et plein de fun.
Projet solo du guitariste de Josef of the Fountain, Shazam Bell s’inspire de la scène électro actuelle et rappelle certains grands noms dans ce genre tels que Caribou, Moderat ou encore John Talabot. Fasciné par la musique africaine et d’artistes comme Fela Kutie, Mulatu Astake ou Manu Dibango pour ne citer qu’eux, sa musique s’articule autour d’un équilibre entre la froideur de la musique électronique et la spontanéité de la musique organique. Cette spontanéité n’en ressort que d’avantage lorsque Shazam Bell s’entoure de musiciens lors de son Live-Set. Vous aurez l’occasion d’y assister sur la scène Sat pour finir la soirée en beauté !
Sortant son premier EP en 2012, celui-ci charme l’oreille du jury du « Demo Tape Clinic » du M4Music à tel point qu’ils décernent à Shazam Bell le prix de la catégorie électronique. Depuis, les scènes telles que l’Electrosanne, l’Electron, La Bâtie ou même les ondes du Red Bull Music Academy n’ont plus de secret pour lui. Après son passage aux trente ans de Satellite, 2014 sera l’année d’un nouvel album studio !
Très actif depuis le début des années 2000, l’artiste suisse Junior Tshaka s’est rapidement imposé dans les différentes régions de son pays, démontrant au passage que la langue n'est pas un barrage au partage de la musique. Vainqueur en 2009 du European Reggae contest, Junior Tshaka transmet aujourd’hui son message dans le monde entier, accueilli et applaudi aux quatre coins du monde.
Son premier album solo, La Jungle, est produit en 2007 par Echo Productions, label de Mike D’Inca de Sinsemilia. Junior Tshaka le présente alors dans toute la France en première partie de Riké.
En 2009, il sort Il est temps sur le label de Damp-Music. Plusieurs titres sont diffusés par de nombreuses radios (Couleur3, DRS3,...), en particulier Le Monde est un grand village qui donnera son nom à une collaboration et une première tournée avec des artistes sénégalais dont le rappeur Didier Awadi.
Junior Tshaka est un artiste charismatique qui distille un reggae militant et rassembleur. Il chante des valeurs universelles en toute sincérité et aborde avec des mots simples ses convictions sur l’état de la planète. En petite formation acoustique ou avec son groupe au complet, les concerts de Junior Tshaka sont riches en émotions et partage. Pas naïf mais conscient et lucide, il touche son public dans le monde entier quelles que soient ses origines et sa culture, tant sur des grandes scènes de festivals que dans de petits théâtres.
Après plusieurs années d’une tournée internationale qui l’a conduit à jouer dans 17 pays, de l'Amérique du sud au Maghreb, de la Slovénie à la République Tchèque, devenant même le premier artiste reggae à donner un concert en Iran, Junior Tshaka est de retour en ce début d’année 2013 avec un 3ème album qui lui ressemble : Boosté par le son. Pour la production et la réalisation, il reprend la collaboration avec Mike D'Inca. Auteur et compositeur, Junior Tshaka s’entoure sur ce disque de la crème des musiciens du reggae français avec les musiciens de Dub Inc au grand complet ainsi qu’avec la participation de certains membres de Sinsemilia et de Leroy "Horsemouth" Wallace (batteur légendaire, héros du film "Rockers").
Résolument reggae mais totalement moderne, cet album est à l'image de l'artiste: conscient mais positif, engagé mais pacifique. C'est donc un nouveau chapitre de la carrière de Junior Tshaka qui s'ouvre aujourd'hui, un chapitre Boosté par le son qui commence par une tournée de 11 dates en Chine durant tout le mois de mars 2013.
III, l’album de nÄo est d’autant plus multifacettes qu’il est marqué du sceau numérique de la trinité. Troisième album du trio, et pour autant le premier à avoir été composé véritablement à trois, cet opus est un lien fort entre filiation et rupture.
Évolution logique du groupe et de son univers, on y retrouve en effet les influences musicales déjà assumées des Nine Inch Nails ou 65daysofstatic, autant que celles – cinématographiques – des films sombres et froids de réalisateurs comme Darren Aronofsky.
Le son de ce troisième album se niche entre l’organique et le digital, entre cristal et charbon : les volutes des notes électroniques, claires et légères dansent au-dessus des puissances minérales et vibratoires des guitares saturées hurlant sous les coups féroces de la batterie.
Composé en espace clos, contrairement au précédent qui avait vécu à la chaleur de la scène avant d’être enregistré, III diffuse bien sûr les ambiances orageuses et mouvantes propres au groupe. Mais le noir s’est fait plus intense, plus complexe, à l’image des chemins plus indus et rock qu’emprunte la musique, laissant sous ses semelles le côté electronica des premiers disques.
III c’est finalement la percée schizophrène d’une triple personnalité au sein d’un même élément.
Trois sensibilités complémentaires, cohabitant entre amour et haine, participant de façon quasi mystique à la même essence, de façon pourtant distincte.
Le groupe s'est formé en 2006 après que Bévillon et Gorce aient invité Louise Ebrel, Maurice Jouanno et l'ex-Bérurier Noir Loran sur leur disque de musique traditionnelle bretonne Kerne Izel, sorti chez Coop Breizh. Leur premier album, Dañs an Diaoul (« La Danse du diable ») est édité en 2007 par l'ancien label des Bérus, Folklore de la zone mondiale. La chanteuse Louise Ebrel, fille d'Eugénie Goadec, intervient sur plusieurs morceaux de l'album.
Les Ramoneurs de menhirs participent en off au Festival interceltique de Lorient 2006, sur la place Polig Monjarret de Lorient.
Ils sont invités officiellement par le festival 20071, ainsi qu'au BetiZFest.
À partir de janvier 2008, ils effectuent des tournées en Europe (Écosse, France, Suisse). En avril 2008, le groupe remporte le concours Kan Ar Bobl dans la catégorie " Groupe Musicaux ".
Le groupe refait partie de la programmation officielle du Festival interceltique de Lorient en 20092.
En avril 2010, toujours en collaboration avec le label Folklore de la zone mondiale, ils sortent un second album : Amzer an dispac'h (" Le temps de la révolte "). De nombreux invités participent à l'enregistrement du disque : Gilles Servat, Les mangeouses d'oreilles, Blackfire, Niko Tagada, Louise Ebrel pour la deuxième fois et enfin Roland et Jean-Pierre, tous deux sonneurs au bagad Quic-en-Groigne de Saint-Malo.
Le 10 mai 2010, ils se réunissent à Rennes, place de la Mairie, afin de soutenir la manifestation Ar Redadeg dont le but est de populariser la pratique de la langue bretonne. Ils y jouent la chanson Redadeg 2010, chantée en chœur par les élèves de Div Yezh, Dihun et Diwan. Ils participent également au concert célébrant l'arrivée de la Redadeg à Pontivy le 15 mai. Et le week-end suivant, on les retrouve à la Fête nationale de la langue bretonne (Gouel broadel ar brezhoneg) à Cavan/Kawan.
Le 17 août 2013, ils sont l'une des têtes d'affiche au Salon des Enragés à Rouvre-la-Chetive dans les Vosges.
[Wikipedia]
La Grand-Mère Indigne est une fanfare radoteuse et pétaradante qui propose de la chanson festive. Les couleurs musicales oscillent entre fanfare slave, marching band de la Nouvelle Orléans et valse torturée “à la Tom Waits”.
La Grand-Mère Indigne est un groupe phare de “La contestation mature”, un mouvement associatif qui trouve son origine dans l’ennui de pères trentenaires et bien installés. Devenu un art de vivre prônant notamment la surconsommation comme solution anarchique aux problèmes mondiaux actuels, cette philosophie de “subversion conviviale” est marqué par des actions parfois violentes comme la pose sauvage de plaques “FUCK LA POLICE”… en laiton.
La Grand-Mère Indigne doit son nom à l’envie de ses créateurs (Fabian Tharin et Gille Gfeller) de partir d’une fanfare (la vieille dame) en tordant ses codes et ébouriffant ses sonorités, ses thèmes et ses tempi.
SON CÔTÉ REBELLE…
Au crépuscule de sa vie, l’aïeule qui fut jeune fille, mère et épouse irréprochable, vit sa crise d’adolescence et décide de tremper ses gaufrettes dans les délires dangereux de Sid Vicious et les déhanchés sensuels d’Elvis, plutôt que dans sa tasse de thé…
SUR SCÈNE !
Évidemment, il peut être du chic le plus distingué, quand on a dix-huit printemps de mettre un rien les pieds contre les murs, d’incendier ça et là quelques automobiles, ou de partir en guerre pour trois idées romantiques. Bien sûr, on ne peut en vouloir aux jeunes gens de se laisser aller à des révoltes si convenues.
LA GENÈSE
La Grand-Mère Indigne doit son existence à une commande de la Fête de la Musique à Yverdon-les-Bains. La moitié de son répertoire a donc été joué en création le 21 juin 2008. Devant l’excellent accueil qui lui a été réservé à cette occasion, ses membres ont décidé de poursuivre l’aventure et de compléter le set afin de mettre sur pied leur premier spectacle intitulé “un pavé dans les orties”.
Originaire de Lausanne, l’équipe des Huge Puppies se forme en 2003. Fans de ska-punk à la sauce californienne tel que Mad Caddies, Sublime, NOFX ou encore Less than Jake, ils composent rapidement leurs premiers titres, et une première démo leur permet d’arpenter les scènes régionales. Cette passion pour la scène ne les quittera plus ! Acquérant une certaine réputation dans le milieu punk et ska romand, ils assurent bientôt la première partie de groupes tels que Big D & The Kid Table, Los Tres Puntos ou Streetlight Manifesto courant 2005.
Après une période de séparation, le groupe se reforme plus fort que jamais et l’album au doux nom de « Ürsch » voit le jour en 2012. Leur ska-punk mêle habilement un côté punk, reggae, rock ou même parfois pop. Cela les propulsera en première partie des mythiques Dropkick Murphys et des Boucing Souls. Au fil des concerts, un album cinq titres intitulé « Motorbike » sort à l’été 2013.
Cette bande de joyeux drilles se fera un plaisir d’ouvrir le marathon de musique du samedi sur la scène de Satellite. Ambiance chaleureuse, sourire et bonne humeur garantis !
Après avoir été résistant, pilote d'hélicoptère, guérilléro cubain, flutabequiste des Beatles, ceinture noire de bataille de pouce ou encore conducteur de tractopelle, Toufo décide de tout abandonner pour se consacrer à la musique. Un jour, dans un club de bridge échangiste, il rencontre Bertrand Blessing. Après une traditionnelle messe noire, Bertrand se verra remettre le titre de contrebassiste officiel. Depuis, Toufo et Bertrand parcourent la route pour faire découvrir aux gens ce qu'est le véritable "Henri Dès métal". Ca ne veut rien dire, mais le jeu de mot est quand même super chouette non?
Formés en 2009, les musiciens d’Ass of Spades enregistrent leur première démo intitulée « Booze, Hell, Spades, Rock’n’Roll » seulement deux mois après leur union ! Après deux ans passés sur scène, c’est leur premier album « Check, Raise or Fall » qui est disponible dès 2011. Leur style de musique est Rock’n’Roll, bourré d’énergie et influencé principalement par The Hellacopters, ACDC ou encore Motörhead. Ils allient avec brio les arrangements de leur quatre voix et la puissance que l’on savait propre à la scène métal.
Né pour la scène avec un show destiné à vous en mettre plein les yeux, le groupe sait jouer les durs dans le monde du rock tout en ajoutant une pointe d’humour : pas besoin d’être fan de rock’n’roll pour apprécier Ass of Spades !